Vous souhaitez, comme bien des Français, souscrire un contrat d’assurance vie ?
Ce type de support d’investissement à long terme est en effet particulièrement attractif et idéal pour financer un projet, préparer sa retraite ou encore envisager la transmission de son patrimoine tout en bénéficiant d’avantages fiscaux. Pour mieux vous accompagner dans vos recherches, profitez des services de notre simulateur d’assurance vie en ligne 100 % gratuit !
L’assurance vie, un support d’investissement attractif et avantageux
L’assurance vie n’est pas le placement préféré des Français pour rien ! Idéal pour préparer sa retraite, pour faire fructifier son épargne, pour financer un ou plusieurs projets, pour préparer la transmission de son patrimoine ou tout simplement le diversifier entre autres possibilités, c’est un support d’investissement à long terme assorti d’avantages fiscaux non négligeables ! Accessibles à tout moment, les fonds sont versés de manière relativement libre et permettent de se constituer une épargne valorisée plus ou moins fortement et avec plus ou moins de risque en fonction du profil et des objectifs de l’assuré.
Bref, vous l’aurez compris, l’assurance vie est un support de choix pour espérer faire fructifier ses économies. Ce n’est pas pour rien qu’elle est surnommée le couteau-suisse de la gestion de patrimoine, car elle offre de multiples possibilités pour donner vie à de nombreux projets grâce à une quantité de services et de solutions.
Comment fonctionne l’assurance vie ?
L’assuré titulaire du contrat peut verser ses économies sur son contrat d’assurance vie sous la forme de versements libres et ponctuels, de versements programmés et réguliers ou encore sous la forme d’un versement unique. Cet argent placé sur le contrat peut ensuite être investi de différentes manières en fonction du type de contrat souscrit. En effet, l’assuré peut souscrire un contrat monosupport, avec des fonds en euros, ou un contrat multisupport, qui associe les fonds en euros et les unités de compte. Les fonds peuvent ainsi être répartis entre les supports suivants :
- les fonds en euros, qui sont des supports sécurisés et sûrs (même si le risque zéro n’existe pas dans le domaine financier), mais peu rémunérateurs ;
- les unités de compte, qui sont quant à elles des supports très variés (actions, obligations, SCPI, OPCVM, etc.) et nettement plus rémunérateurs, mais avec un niveau de risque plus important dans la mesure où ils sont soumis à la volatilité des marchés financiers.
La répartition n’est pas réalisée au hasard. Le conseiller gestionnaire qui distribue le contrat conseille l’assuré épargnant sur les supports les plus adaptés à son profil d’investisseur, à ses projets, à ses objectifs ou encore à son goût du risque. Les fonds sont ainsi répartis sur divers supports destinés à faire fructifier le capital, mais il est possible à tout moment d’opérer des arbitrages, c’est-à-dire de transférer les fonds d’un support moins rémunérateur vers un autre plus attractif.
Pour minimiser les risques, il est recommandé de sécuriser une partie plus ou moins importante de l’épargne sur des fonds en euros, en raison du très faible risque de perte en capital, et de placer le reste du capital sur des unités de compte diversifiées pour profiter d’un rendement plus ou moins important avec un risque de perte limité par cette répartition. En effet, si un support s’effondre, l’assuré dispose tout de même d’une partie de ses fonds.
Pour la gestion de son contrat, l’épargnant dispose de plusieurs possibilités, à savoir :
- la gestion libre, qu’il assure seul, à condition cependant de disposer de temps à y consacrer et d’une bonne connaissance des marchés financiers ;
- la gestion pilotée, qui permet de confier la gestion des fonds, leur répartition et les arbitrages à un gestionnaire en contrepartie du versement de frais de gestion annuels ;
- la gestion conseillée, qui permet à l’assuré de gérer ses fonds, mais de disposer de conseils et des recommandations du gestionnaire, qu’il est alors libre de suivre ou non.
Si l’assuré vient à décéder, l’épargne disponible sur son contrat d’assurance vie est soumise au droit des assurances et non au droit des successions. Les fonds sont ainsi répartis entre les bénéficiaires désignés par le contrat – en toute liberté – et assortis d’avantages fiscaux intéressants puisque les sommes sont exonérées d’impôts dans la limite de 152 500 euros par bénéficiaire en cas de décès avant 70 ans et de 30 000 euros pour l’ensemble des bénéficiaires en cas de décès après 70 ans.
Quelle fiscalité avec l’assurance vie ?
Tout au long de la vie du contrat d’assurance vie et tant qu’aucun retrait n’est effectué, les gains générés ne sont pas soumis à l’imposition. Seuls les prélèvements sociaux sont dus sur les fonds en euros et en cas de rachat sur les unités de compte. En revanche, la fiscalité peut ensuite varier en fonction des opérations réalisées.
La fiscalité en cas de rachat (ou retrait)
À tout moment et en cas de besoin, il est possible d’effectuer un rachat partiel de son épargne accumulée ou un rachat total (qui conduit, pour ce dernier, à la clôture du contrat). En cas de rachat, il faut savoir que seules les plus-values générées sont soumises à l’imposition.
Pour les versements effectués avant le 27 septembre 2017, la fiscalité est la suivante :
- l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu ou le prélèvement forfaitaire libératoire à hauteur de 35 % avant 4 ans, de 15 % entre 4 ans et 8 ans et de 7,5 % après 8 ans de détention ;
- les prélèvements sociaux.
Pour les versements effectués depuis le 27 septembre 2017, la fiscalité est la suivante :
- pour les contrats détenus depuis moins de 8 ans : le prélèvement forfaitaire unique (PFU) à hauteur de 12,8 % ou l’imposition au barème progressif de l’impôt sur le revenu ;
- pour les contrats détenus depuis plus de 8 ans : une imposition à hauteur de 7,5 % si le capital est inférieur à 150 000 euros et à hauteur de 12,8 % pour la fraction supérieure à 150 000 euros. Un abattement annuel global de 4 600 euros est accordé chaque année pour une personne seule et de 9 200 euros pour un couple à imposition commune.
La fiscalité en cas de décès
La fiscalité d’un contrat d’assurance vie est variable en cas de décès de l’assuré. Depuis le 1er janvier 2010, les prélèvements sociaux doivent être versés en cas de décès, à hauteur de 17,2 %.
Pour les versements effectués avant l’âge de 70 ans, la fiscalité est la suivante :
- jusqu’à 152 500 euros par bénéficiaire, les montants versés sont exonérés de droits de succession ;
- de 152 500 euros à 852 500 euros par bénéficiaire, les montants transmis sont soumis au taux forfaitaire de 20 % ;
- au-delà de 852 500 euros par bénéficiaire, les montants sont soumis à un taux forfaitaire de 31,25 %.
Pour les versements effectués après l’âge de 70 ans, la fiscalité est la suivante :
- les droits de succession sont appliqués, après un abattement de 30 500 euros pour l’ensemble des bénéficiaires concernés ;
- les plus-values sont exonérées de droits de succession, mais elles restent soumises aux prélèvements sociaux.
Quels sont les frais d’un contrat d’assurance vie ?
Les contrats d’assurance vie sont assortis de frais. Voici les trois principaux appliqués.
- Les frais d’entrée ou frais de versement : ils sont versés lorsque le contrat est ouvert ainsi que pour tout nouveau versement effectué afin de rémunérer l’établissement distributeur du contrat. S’ils ne sont pas systématiques, ils sont facturés sous la forme d’un pourcentage appliqué sur le montant versé.
- Les frais de gestion: ils sont systématiquement appliqués, car ils sont destinés à rémunérer l’assureur gestionnaire du contrat d’assurance vie. Ils sont généralement prélevés chaque année sous la forme d’un pourcentage appliqué sur les plus values générées. Ces frais oscillent entre 0,5 % et 1 % environ, mais il est important de bien les comparer pour se tourner vers un contrat à faible coût de gestion.
- Les frais d’arbitrage: il s’agit des frais appliqués lorsque l’assuré transfère tout ou partie de ses fonds vers un autre support. Cette opération est ainsi facturée sous la forme d’un pourcentage calculé sur le montant transféré ou sous la forme d’un montant forfaitaire. À noter que certains organismes ne les appliquent pas.
Simulation assurance vie : profitez de notre simulateur en ligne gratuit !
Utiliser un simulateur assurance vie est un bon moyen d’estimer la valorisation moyenne d’un contrat en fonction des versements effectués et du taux de rendement moyen attendu, ce dernier étant calculé en fonction du rendement moyen affiché lors des dernières années notamment. Pour évaluer ces paramètres, l’outil se base sur certains éléments renseignés par vos soins sur le formulaire en ligne mis à votre disposition.
Ces éléments qui contribuent directement à la proposition d’un calcul fiable sont :
- la durée envisagée pour la détention du contrat d’assurance vie ;
- le capital investi ;
- le montant et la fréquence des versements effectués ;
- le rendement moyen estimé du contrat.
Ces données permettent à l’outil de calculer l’épargne moyenne à envisager au terme du contrat. Pour cela, il tient compte des renseignements fournis, mais également des performances passées et promises du support d’investissement visé et des tendances du marché. Attention toutefois, il nous semble important de préciser qu’il s’agit d’une simulation ! Rien ne permet de présager l’avenir avec exactitude, raison pour laquelle il convient de rester prudent.
Simulateur assurance vie : quels avantages ?
Utiliser un simulateur assurance vie présente des avantages indéniables :
- la simulation de rendement permet d’évaluer la valorisation de l’épargne investie à terme ;
- l’outil permet de mettre en place des stratégies d’investissement qui se basent sur ces résultats et qui tiennent compte des objectifs de l’épargnant ;
- cela permet de mieux évaluer l’intérêt éventuel d’un contrat et/ou d’un support d’investissement.
Ainsi, le simulateur en assurance vie est un bon indicateur pour se projeter et évaluer l’attractivité d’un contrat.
Rappelons toutefois que cet outil reste un simulateur qui se base sur les données que vous renseignez pour effectuer son calcul et sur les performances passées et projetées du support d’investissement évalué. Il ne peut en effet garantir la rentabilité supposée, qui peut être exacte à terme, ou bien minorée ou majorée.
Utilisez notre simulateur en ligne gratuit !
Notre simulateur en ligne gratuit, sans engagement et personnalisé est à votre service. Pour optimiser son fonctionnement, complétez le formulaire en ligne mis à votre disposition. En fonction de vos réponses, l’outil effectue un calcul qui se base également sur les données du marché pour vous proposer des informations les plus concrètes possible.
Vous avez ensuite tout le temps d’étudier les propositions et les données qui vous sont communiquées pour faire le meilleur choix. Analysez, comparez et sélectionnez aisément les supports d’investissement les plus intéressants pour vous !